28 octobre 2014

28 octobre

La nuit de très violent orage et des vent très fort on fait valdinguer la chaise du balcon, pas de dégât apparent, et un peu d'eau dans la chambre au sol. Mais rien de mouille. Nous somme prêt à rejoindre le camp suivant, qui est a juste 250km. Plus loin (le toute sur une route sablée). Mais de bien jolie rencontre et même une surprise.

Oryx, héron Melencephale, Houppette, des vautour Oriku et africain, outarde de Kori Sur la route un chacal, ma tante s'arrête pour le laisser quitter la route et moi je vois un sconse... J’étais sur qu'elle s'était stoppée pour celui ci, mais non, et quand je dis "oh un sconse" elle ne le voit pas tout de suite, et en faite c est un Honey Badger (rare a voir). J ai eu l impression d avoir un sconse mélanger à un diable de Tasmanie. Ratel : C’est un petit carnivore de la famille des Mustélidés mesurant environ 75 cm de long et 30 cm au garrot à l’âge adulte et qui a la réputation d’être un teigneux7. L’adulte et le jeune sont noirs sur le ventre, les pattes, la queue et la partie inférieure de la tête jusqu’aux yeux. Il est blanc sur le crâne, du front jusqu’au haut du cou, et il est blanc gris sur tout le dos. Le ratel possède des griffes d’environ 4 cm de long à l’âge adulte. Le mâle adulte pèse environ 12 kg, mais la femelle est moins lourde : elle ne dépasse pas les 6 kg. Sa longévité à l’état sauvage n’est pas connue, mais il peut vivre jusqu’à 26 ans en captivité.
À l’instar du blaireau eurasiatique (Meles meles), le ratel est omnivore. Outre les reptiles comme les serpents, même les plus dangereux, qui sont des mets de choix pour lui (aucune de leurs cachettes ne lui échappe), les trois-quarts de ses proies sont attrapées sous terre : termites, scorpions et vers de terre, qu’il déterre facilement grâce à ses longues griffes de 4 cm. Ce qui ne l’empêche pas de s’attaquer à des proies de sa taille telles que des porc-épics ou des lièvres, et même beaucoup plus grosses que lui, comme des gnous ou des antilopes. Il n’hésitera pas à se battre avec un lion, une hyène ou un guépard pour défendre sa proie car c’est un teigneux, même si les gros carnivores comme les lions et les léopards ne se gênent pas pour le manger. Le ratel a la particularité de pouvoir métaboliser les venins des serpents les plus venimeux du monde. 

Suite à une chasse, il se peut qu'il ait été mordu au museau, qui se mettra à enfler pendant qu'il dévore sa proie. Le venin le plongera alors dans un coma de quelques heures, mais il reprendra ses esprits et terminera son repas avant de se remettre en chasse immédiatement. 

Un de ses mets préférés est le miel (d’où son nom, Mellivora signifiant « mangeur de miel ») et, à ce titre, il convient de signaler un des cas les plus remarquables de mutualisme. En effet, le ratel s’associe avec l’indicateur, un oiseau (ordre des Piciformes, famille des Indicatoridés) qui chante de façon spécifique et répétitive pour mener ce carnivore, en voletant bas devant lui, à un nid d’abeilles. Le ratel ainsi appâté ouvrira, au moyen de ses robustes griffes, la ruche sauvage dont il mangera la majorité du miel, laissant à l’oiseau les larves et la cire dont ce dernier n’aurait pu disposer sans cette aide appropriée.
Pour s’hydrater, le ratel peut manger aussi des tsamas, une certaine variété de melon remplie à 99 % d’eau. Les aigles martial et serpentaire, les secrétaires, des faucons (crécerelle, , un travailleur à tète rouge, étourneau des lézard et geckos, pcg, ibis hadida, kudu, hyène tachetée, tourterelle masquée, un hibou grand duc africain avec son petit. Huppe africain, tortue léopard. Mangouste mince, des souris ,hyène brune 

Et encore pour ce soir les orages, décidément... On va ce taper tout les orages. Au moins pour les photos la c est le pied.
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